“La communication animale réside dans la part de sensibilité que nous n’avons pas pris l’habitude d’exploiter”, Jean-Luc Force (2/2)

De plus en plus répandue au sein de toutes les communautés équestres, la pratique de la communication animale fait presque autant d’adeptes que de sceptiques. Terme popularisé pour qualifier la faculté à communiquer avec les animaux par la pensée et les énergies, cette approche autrefois marginale conquiert aujourd’hui les écuries les plus réputées. Symptôme positif de l’éveil des consciences des équitants soucieux de mieux communiquer avec leurs chevaux, la pratique revêt toutefois divers aspects qu’il convient d’aborder avec mesure. Ancien cavalier international de concours complet, aujourd’hui conseiller technique fédéral aux rênes du département de Haute Performance de la Fédération française d’équitation, Jean-Luc Force fait part de son expérience et livre son point de vue sur la question.



La première partie de cet article est disponible ici.Un terme qui renferme plusieurs notions fondamentalesPour qui prête peu d’attention à l’évolution des tendances captivant l’intérêt des équitants, les termes de “communication animale” ou “communication intuitive” n’évoquent rien de bien concret. En effet, qu’elle passe par les aides du cavalier ou l’observation de sa monture, la communication avec le cheval ne constitue-t-elle pas le b.a.-ba de l’équitation? L’expression renvoie aujourd’hui à une pratique de soins souvent payante, se distinguant des fondamentaux enseignés aux cavaliers de tous niveaux. “Pour moi, ce terme englobe ...

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