“En élevage, je me considère encore comme un enfant qui découvre et apprend en permanence”, Grégory Wathelet

Et si les cavaliers de haut niveau devenaient aussi éleveurs? Plusieurs exemples prouvent que cette double activité peut mener à de belles réussites. Ce ne sont pas Julien Épaillard, Olivier Perreau, Marcus Ehning ou William Funnell qui diront le contraire. Tous ont concouru au plus haut niveau avec au moins un produit maison, à l’image de Donatello d’Auge, GL events*Dorai d’Aiguilly, Funky Fred ou Billy Congo. Suivant cette tendance ou laissant simplement s’exprimer leur passion, d’autres champions, de saut d’obstacles comme de concours complet, se sont à leur tour lancés dans l’élevage, rêvant de mener au sommet l’un de leurs protégés. Deuxième partie.



La première partie de cet article est disponible ici.Suivant la voie ouverte par son père Hubert, Grégory Wathelet écrit une nouvelle page de l’histoire de l’affixe de la Marchette depuis une poignée d’années. “L’élevage ne me passionnait pas vraiment au départ et m’intéresse de plus en plus. Il y a dix ou quinze ans, je n’aurais jamais imaginé m’impliquer comme je le fais aujourd’hui. J’étais avant tout un grand passionné de sport de haut niveau. Le fait de m’installer et de reprendre des terres a fait évoluer ma vision des choses. Mon père avait initié cette activité, à sa façon, avec ses propr...

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