Le rêve américain des cavaliers de Michel Assouline

Partie intégrante de la pratique handisport, le para-dressage a rejoint assez récemment l’univers de la compétition de haut niveau. Si les cavaliers en situation de handicap ont eu leurs propres compétitions dès les années 1970, cette discipline n’a fait son apparition dans le programme olympique qu’en 1996, à Atlanta, et encore plus tard, en 2010, dans celui des championnats du monde. S’il n’a pas gagné tous les pays avec la même intensité ni la même vitesse, le para-dressage s’est imposé aux États-Unis d’Amérique, qui sont passés de la douzième à la deuxième place mondiale en l’espace de cinq ans. Analyse de ce phénomène avec le Français Michel Assouline, qui n’est pas étranger à cette forte dynamique…



Aux États-Unis, pourtant forts de leurs trois cent trente-neuf millions d’habitants, le nombre de cavaliers de para-dressage de haut niveau n’est pas si élevé. Michel Assouline, actuel sélectionneur national de l’équipe américaine, ne décompte, étonnamment, que “six ou sept athlètes pouvant postuler pour une place dans un grand rendez-vous”. Après avoir passé près de trente ans en Grande-Bretagne, où il a officié durant douze ans comme entraîneur de l’équipe nationale de para-dressage, qu’il aura accompagnée dans la quête de ses quatre médailles d’argent et sept d’or aux Jeux paralympiques de Rio de Jan...

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