“J’ai mis du temps à atteindre le haut niveau parce que ce n’était pas ma priorité”, Olivier Perreau

En février 2023, Olivier Perreau n’aurait pas parié sur une participation aux Jeux olympiques de Paris. Pourtant, quatorze mois plus tard, le Rhônalpin forme l’un des couples les plus solides de l’équipe de France de saut d’obstacles avec Dorai d’Aiguilly*GL events, une jument née chez lui. L’air de rien, il a fallu à peine une olympiade au “p’tit gars de Roanne”, comme l’appelle Michel Robert, pour atteindre le plus haut niveau de son sport. Un aboutissement dont ce cavalier de trente-sept ans, qui a su compter sur le soutien indéfectible de Sylvie Robert, présidente de GL events Equestrian Sport, n’avait pas fait sa priorité. Le parcours d’Olivier Perreau, modeste héritier de la passion et de la structure de ses parents, mêlant élevage, valorisation, commerce et compétition, a quelque chose d’inspirant. Voici la deuxième partie de notre portrait d’Olivier Perreau.



La première partie de cet article est à lire iciL’été dernier, trois cavaliers ont foulé la piste des Européens de Milan avec un cheval né sur leurs terres: l’Irlandais Trevor Breen, médaillé d’argent par équipes avec Highland President (KWPN, Clinton x Kannan), l’Autrichien Gerfried Puck, médaillé de bronze par équipes avec Equitron Naxcel V (BWP, Balou du Rouet x Landetto), et, bien sûr, Olivier avec Dorai d’Aiguilly*GL events. Dans la même veine, on peut également citer Julien Épaillard, qui gagne tant et tant d’épreuves avec ses chevaux d’Auge, ou encore l’Allemand Marcus Ehning et le Britannique William Funnell, qui...

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX ABONNÉS

Abonnez-vous pour 6,99€ par mois sans engagement
  • Accédez à tous les contenus payants de GRANDPRIX.info en illimité
  • Soutenez une équipe de journalistes passionnés et une rédaction indépendante

Nouveau chez GRANDPRIX ? Créez votre compte GRANDPRIX

Mot de passe perdu ? Réinitialiser mon mot de passe

Retrouvez OLIVIER PERREAU en vidéos sur
Retrouvez BIJOU ORAI en vidéos sur